C'est sans doute une question de caractère. Je n'ai jamais été fait pour le salariat. J'ai toujours aimé entreprendre et monter des projets : certains ont fonctionné, d'autres non. J'ai toujours pris des risques, comme le montre bien Omerta.
Ma connaissance de la Russie vient du fait que j'y ai vécu plusieurs années. Même en habitant en France, j'ai toujours continué à travailler en Russie, au rythme d'un ou deux allers-retours par mois, voire davantage. Je voyageais également dans d'autres pays, comme le Kazakhstan, l'Ukraine ou la Roumanie.
Cette implication n'est pas récente. Mon travail, pour des clients essentiellement français, sur des thématiques complexes, m'a amené à développer un réseau au sein de la communauté française et des élites économiques et politiques.