De même que celui défendu par mon collègue Lachaud pour l'A400-M, cet amendement a pour objet de s'assurer que l'organisation de la commande publique veille à ne pas créer de pause dans les chaînes de production. Il ne s'agit pas de défendre les intérêts de qui que ce soit – je vois votre sourire malicieux, Monsieur le ministre –, mais bien de défendre ceux de la nation et du pays. L'exemple de l'Albatros reste pertinent puisqu'il y aura un trou entre 2025 et 2027 : il n'est pas de très bonne politique de placer nos industriels dans la difficulté.