Nous ne souhaitons pas remplacer les commandes des partenaires. Nous voulons simplement nous assurer que d'éventuelles annulations n'empêcheraient pas d'atteindre la cible sans trou dans les chaînes de production ni compensation du coût des avions que nous payons.
Assurons-nous que les décisions que nous prenons n'envoient pas de signal d'abandon de l'A400M au motif que l'avion ne nous conviendrait pas : cela tuerait les exportations.