Notre préférence va bien évidemment à la solution française, mais le programme a malheureusement connu un échec lors d'essais le week-end dernier. Il y a donc quelques incertitudes – même si je fais confiance aux équipes d'Airbus Helicopters pour trouver une solution.
La marine nationale avait fait le choix, avant mon arrivée au ministère, d'acheter du matériel autrichien. Je n'ai pas d'avis définitif sur le sujet. La question est de savoir quand Airbus Helicopters sera capable de proposer une solution, car on a besoin de ces drones pour un certain nombre de missions.
Par ailleurs, je préférerais qu'on écrive qu'il faut privilégier une solution souveraine plutôt qu'on inscrive directement un modèle dans le tableau. Ce qui compte, c'est que ce soit français. Demande de retrait.