Amendement similaire au précédent visant à engager des études en vue d'un sister-ship au porte-avions de nouvelle génération. On ne trouve pas les porte-avions dans des paquets Bonux et notre pays est endetté à hauteur de 3 000 milliards d'euros mais nul ne peut dire quel sera l'état de la France et du monde en 2060 ou en 2080. Dès lors, il me semble responsable de soulever le débat sur l'opportunité de disposer à terme d'un second porte-avions.