L'idée d'un sister-ship ne me semble pas incongrue, d'autant moins que la question de la vulnérabilité se pose sur de nouveaux frais pour ce qui est du porte-avions, le défi de l'hypervélocité n'étant pas relevé : cette vulnérabilité a bien été identifiée par la marine nationale. La bulle de protection ne nous met pas à l'abri de tout.
De surcroît, une telle frappe toucherait une base mouvante coûtant 10 milliards d'euros.
Un deuxième porte-avions permettrait, non seulement des économies d'échelle, mais aussi le développement de technologies qui ne sont pas encore souveraines.