J'ai découvert avec stupéfaction, lors de mes auditions, qu'il n'y avait aucun suivi des alumni étrangers venus faire leurs études en France, même lorsque les formations sont financées par notre pays. Il serait indispensable d'entretenir avec eux un lien dans la durée, sachant que nombre d'étudiants formés au début de leur carrière en France occupent vers l'âge de 40 ans des postes-clés au sein de leur ministère, notamment dans les pays africains.