Alors que la mission Sentinelle était censée être exceptionnelle en des circonstances exceptionnelles, elle s'inscrit de plus en plus dans la durée.
Je soutiens pour ma part l'amendement DN232 : il faut mener une évaluation annuelle. Si un rapport existe déjà, il faut nous le communiquer, et organiser une audition du ministre et du chef d'état-major pour que nous puissions à chaque fois juger de l'opportunité de poursuivre l'opération. Assurer la sécurité intérieure n'est pas le rôle premier de l'armée : c'est aux forces de police et de gendarmerie qu'il revient de le faire.