J'ai été très étonné de vous entendre dire, Monsieur le ministre, que les armées françaises n'auraient pas été capables de faire une RESEVAC à Khartoum : elles ont toujours répondu présentes quand il a fallu évacuer nos ressortissants. Je ne comprends donc pas pourquoi vous prétendez que nous avons désormais besoin de l'Europe pour évacuer nos ressortissants de par le monde. Ce propos ne devait pas traduire votre pensée.
J'en reviens à l'amendement. Votre texte comporte en effet des formules creuses, plus dignes d'une plaquette de communication que d'un travail de fond pour le Parlement. Il en va de même pour la manière dont sont présentés les « patchs ». Au final, tout cela n'est pas clair.