Il existe effectivement des ruptures technologiques, dont le quantique fait partie, où il convient d'aller plus vite pour ne pas être déclassés. Dans le domaine des drones à voilure fixe, il ne s'agit pas de rattraper le réel retard dont nous faisions l'objet, mais bien de préparer l'avenir, dans une cadence compatible avec celle des programmes que nous mettons en place. À chaque fois, nous essayons de ne pas procéder « simplement » à du rattrapage mais bien de préparer les évolutions futures, même si nous partons de plus loin. Il s'agit ici de prendre exemple sur la téléphonie mobile où certains pays qui étaient initialement en retard sont désormais en avance.
Concernant l'A400M, le cadre contractuel commande est inchangé. Nous travaillons également avec les industriels sur l'export. Enfin, nous développons un certain nombre de programmes comme SNA Barracuda et Evolution SNA, qui prévoient l'intégration des nouvelles antennes filaires.