Nous avons besoin d'une forêt en bonne santé. Or sa fragilité est avérée. On sait que la résilience des forêts passe par une révision de la gestion forestière, qui doit promouvoir la diversité des espèces, prendre en considération la biodiversité, prévoir la restauration de la qualité des sols et l'abandon des coupes rases. Or, malgré nos multiples tentatives, le texte ne la prévoit pas.
Enfin, nous tenons à rappeler que la mise en œuvre de la stratégie est étroitement liée aux moyens alloués, notamment à l'ONF, au CNPF à Météo-France et au Cerema – Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement. Nous y serons vigilants.