J'ai déjà défendu des amendements qui vont dans le même sens – la cohérence ne s'arrête pas à l'article 28. Lundi dernier, nous avons examiné plusieurs amendements de notre collègue Acquaviva, présentés, comme aujourd'hui, par M. Castellani. À chaque fois qu'il est question de la particularité de la Corse – elle est légale, inscrite dans les textes s'agissant d'une collectivité que l'on a proclamée solennellement un peu à part –, je remarque qu'il y a toujours un refus, comme un déni de la constatation que la Corse est un territoire qui présente des particularités. Sur ce point, je regrette qu'il ne puisse pas véritablement y avoir d'écoute possible.