C'est par la régénération naturelle, par l'être humain, notamment par le forestier, qu'on parviendra à des résultats.
Enfin, je rappelle que nos amendements ne s'appliquent pas aux situations de dépérissement. Je note au passage que 87 % de fonds publics ont financé des coupes rases, dont 42 % ne correspondaient pas à des cas de dépérissement. On utilise l'argent public pour faire des coupes rases !