Il existe un recensement annuel des points d'eau sous pression, numérotés, plus communément appelés bornes à incendie. J'alerte sur le fait que l'amendement de nos collègues vise les points d'eau de toute nature. Or cette notion est très évolutive et une cartographie, impossible à tenir. Un point d'eau aujourd'hui peut disparaître dans six mois : envoyer des sapeurs-pompiers chercher de l'eau à un point d'eau qui n'existe plus est dangereux pour eux, et pour la protection de la forêt. Par sécurité, il faut en rester aux points d'eau sous pression, réglementés en termes de volume, de débit et de distance par rapport aux habitations.