Or cet amendement vise à prévoir « l'arrêt de la privatisation » de l'ONF. J'y insiste : aucune évolution du statut n'est prévue. Je ne peux pas vous laisser dire que nous serions favorables à la privatisation : pas du tout. Je ne peux pas non plus vous laisser dire qu'il s'agit d'une question de moyens – c'était le sujet de l'amendement précédent.