La première est que nous n'avons pas un goût très prononcé pour les ordonnances, surtout quand elles sont ratifiées par voie d'amendement. La seconde, sur le fond, est que quand on examine l'ordonnance en question, on peut craindre que ne se créent des dérogations au régime du droit commun en ce qui concerne la protection des jeunes, lesquelles iront vers le moins-disant.