Car l'essence de la démocratie, c'est le fait de reconnaître sa défaite. Nous sommes d'ailleurs aujourd'hui le 10 mai. Or, si le président Mitterrand nous a appris quelque chose, c'est bien que ce pays pouvait connaître des alternances. J'ajouterai que l'alternance fait l'honneur de celles et de ceux qui l'ont reconnue.