Vous tombez même dans la caricature, tant M. le rapporteur – je le regrette, cher collègue Lefèvre – que Mme la secrétaire d'État chargée de l'Europe. Le propos est très binaire – on est pour ou on est contre l'Europe – et s'appuie sur des raccourcis à la fois historiques, sémantiques et idéologiques, qui n'ont rien à voir avec le débat d'aujourd'hui. Tout cela est très simple et permet de cliver. C'est en réalité plus complexe et beaucoup plus subtil que cela.