Vous avez beau parler, dans l'exposé des motifs du texte, de « promesses de paix, de prospérité et de fraternité », le réel vous rattrapera ! S'agissant de la paix, pour être crédibles, vous auriez au moins pu avoir la délicatesse d'interdire le défilé dans Paris, deux jours avant la célébration de la victoire sur le Troisième Reich, de manifestants néonazis affirmant leur nostalgie du nouvel ordre européen nazi.