Il s'inquiétait de même de la quasi-disparition des protections douanières nous exposant à une concurrence déloyale. Enfin, il craignait que la libre circulation des capitaux provoque « une diminution des investissements productifs ». Non seulement notre illustre prédécesseur avait vu juste, mais l'orientation européenne contre laquelle il mettait en garde a été mise en œuvre au-delà de tout ce qu'il pouvait craindre.
Il n'y a donc pas d'un côté les proeuropéens ouverts et progressistes que vous prétendez incarner et de l'autre les antieuropéens rabougris dont nous serions un énième avatar.