Il faut s'opposer à la suppression de l'article. Les débats qui ont eu lieu en première lecture ont démontré que la question de Mayotte méritait d'être étudiée. Revenir sur cette disposition, comme le souhaite la majorité, est un affront fait au Parlement. Il y a un véritable décalage entre la volonté affichée par l'exécutif de changer de méthode et cette volonté de balayer en commission ce qui a été coconstruit. Curieuse manière d'envisager cette nouvelle méthode !