En plus d'être fixeur, j'étais – j'aime à le rappeler –chroniqueur pour Paris Match et pour La Repubblica. J'étais aussi correspondant et consultant et j'ai fait des live de plus de quatre heures pour la BBC. Mais je n'ai gardé strictement aucun lien en Syrie. Après m'avoir incarcéré, mes geôliers ont pris l'empreinte de ma rétine ainsi que mes empreintes palmaires pour être sûrs que je ne puisse pas revenir déguisé ou masqué.