Nous allons avancer, car il ne sert à rien d'en rester à des postures. Quand, de par les termes utilisés, un sujet se fait l'écho d'une position diplomatique, par exemple sur le Sahara occidental, vous pouvez considérer que cela n'a pas de lien avec l'ingérence, mais on peut aussi estimer, et c'est mon cas, que cela en a un avec l'objet de la commission, souveraine, que je préside. On peut donc vous poser la question. D'autre part, nous n'avons voulu préserver aucune chaîne ou aucun média – j'ai d'ailleurs vu Mme la rapporteure réagir à ce sujet –, c'est vous qui avez choisi de ne pas les nommer. Le fait que vous n'ayez pas voulu donner le nom des journalistes, réguliers ou non, qui sont susceptibles de relayer vos kits presse est votre choix, pas celui de la commission. De même, c'est vous, et non la commission, qui avez choisi de ne pas révéler le nom des médias français qui sont concernés par le relais, total ou partiel, de ces kits presse. De notre côté, nous aurions tout au contraire souhaité obtenir le plus d'informations possible.