Lors de son audition devant notre commission, M. M'Barki a affirmé, sous serment et en réponse à une question que je lui avais posée, qu'en dehors des douze ou seize séquences – je lui ai fait préciser qu'il s'agissait bien de vidéos – dont il est question, il n'avait jamais utilisé d'éléments fournis par un autre lobbyiste. Comment l'expliquez-vous ?