Laissez-moi parler, cher collègue.
Voilà ce à quoi on aboutit : c'est le rêve d'un certain nombre de nos collègues qui siègent à la droite de l'hémicycle. Nous ne partageons pas leur avis. Nous sommes, au contraire, pour une augmentation des salaires afin d'assurer des recettes à l'État et à la sécurité sociale.