Ce que je retiens du passage de M. Aït Ali Belkacem à la maison centrale d'Arles, ce sont plusieurs mois difficiles. Il a entrepris une grève de la faim qui a duré plusieurs semaines et a utilisé ses excréments pour tapisser les murs de sa cellule d'isolement. Il a aussi bloqué le quartier disciplinaire et jeté ses excréments sur les agents.