En effet, globalement, le principal motif de rejet porte sur le critère de ressources. Sur la partie « Passeport pour la formation professionnelle », par laquelle nous accompagnons les demandeurs d'emploi, nous avons également d'autres critères qui sont fixés par le code des transports quant à la nature des actions que nous pouvons accompagner. Il s'agit de l'un des autres motifs qui nous amènent à ne pas retenir certaines demandes. En l'occurrence, aujourd'hui, LADOM peut essentiellement accompagner des formations certifiantes. Ainsi, si le projet déposé par le demandeur d'emploi au titre de l'aide à la mobilité pour la formation professionnelle relève d'un autre dispositif de formation professionnelle, nous ne pouvons pas l'accompagner aujourd'hui.
Nous avons, en effet, un certain nombre de points qui sont identifiés et que nous avons fait remonter dans le cadre du projet « LADOM 2024 » pour pouvoir améliorer la réponse apportée à la population ultramarine via nos dispositifs.
Nous avons parlé de l'aide « obsèques ». Cette aide est relativement récente, puisqu'elle existe depuis 2018. Il faut le temps que ces dispositifs s'installent et commencent à être connus ; il faut que nous améliorions certainement la communication également.
Il existe plusieurs critères qui, en effet, verrouillent certains dispositifs. Ils sont identifiés. Nous intervenons notamment auprès de la Direction générale des outre-mer (DGOM) pour améliorer l'accès aux dispositifs, afin qu'ils atteignent mieux les publics auxquels ils s'adressent.