Nous avons pris, depuis que ce dispositif existe, dix décisions – neuf prévoyant des sanctions et une autre des engagements. On voit les effets, mais d'une manière impressionniste, décision après décision, dans des secteurs très particuliers, le dernier concerné étant celui du champagne. Nous avons également pris des décisions portant sur les produits d'alimentation, les produits de beauté et les produits d'entretien. Il n'y a pas d'impact macroéconomique : c'est ponctuel.