La veille technologique doit effectivement être la plus large possible et les capacités de recherche minimales, sur des technologies encore peu matures, doivent, bien sûr, être maintenues. Ces engagements représentent des dépenses très faibles par rapport aux grands programmes structurants. La difficulté surgit lorsqu'on passe à des démonstrations beaucoup plus coûteuses, avant même de passer à la commercialisation. C'est là qu'un premier choix doit être fait. Ensuite, un compromis demeure inévitable entre la masse d'effets réalisables souhaitée et la sophistication de tel ou tel moyen qui ne peut se trouver qu'en un seul lieu à un moment donné.