À l'appui des propos de mon collègue Alexis Jolly, je note que votre site indique par exemple : « Les trois médias du groupe rassemblent 83,3 millions d'abonné.e.s sur Facebook, Twitter et Instagram. »
La chaîne France 24 se définit comme une chaîne d'équilibre et non partisane. Pourtant, quatre correspondants de cette chaîne au Liban, à Jérusalem ou à Genève ont tenu sur les réseaux sociaux des propos antisémites ayant conduit le centre Simon Wiesenthal à interpeller la chaîne. Ces propos en appelaient ainsi au meurtre de Juifs, souhaitaient le retour de l'Holocauste, comparaient l'État d'Israël avec Hitler et se réjouissaient des tirs de roquettes du Hamas contre des civils israéliens.
De tels propos sont inacceptables. Mes collègues du Rassemblement national se réjouissent du limogeage, par la direction de France 24, de la journaliste ayant souhaité le retour de l'Holocauste. Toutefois, trois correspondants ou journalistes n'ont écopé que d'un rappel à l'ordre pour avoir « seulement » comparé l'État d'Israël avec Hitler ou encore soutenu une organisation terroriste. Comment expliquez-vous la faible sanction contre ces journalistes ? Comment comptez-vous empêcher la tenue de ce type de propos par vos journalistes ? Comment comptez-vous empêcher l'embauche de ce genre de personnes ?