Pas tout à fait. J'appelle de mes vœux une recette affectée dans sa nature comme aujourd'hui, qui évolue en fonction de l'inflation. Pour financer les financements locaux et la montée en puissance du numérique, il suffirait que face aux dépenses qualifiées par l'État français de « dépenses d'aide au développement » – 22 millions d'euros –, nous ayons une recette d'aide publique au développement équivalente – imputée par exemple sur le programme budgétaire n° 209.