Monsieur Ruffin, aujourd'hui, les entreprises industrielles que vous avez décrites comme moribondes depuis des semaines sont en train de redémarrer. Je le sais car je leur rends visite toutes les semaines, qu'il s'agisse d'Arts Energy, de Duralex, d'Aluminium Dunkerque ou de Carelide, au sujet de laquelle vous m'aviez d'ailleurs interpellé il y a six mois. Alors que, depuis, nous avons retrouvé un repreneur français de qualité pour cette entreprise, vous n'avez jamais manifesté une quelconque satisfaction.