Merci d'être là, monsieur Ruffin ! Vous vous obstinez à ouvrir des tiroirs qui le sont déjà depuis quatre heures ; plusieurs députés, ici, ont posé des tonnes de questions au Gouvernement sur ce sujet et nous ont même reproché d'y répondre un peu trop longuement. Et vous, vous débarquez dans l'hémicycle comme une fleur et, j'insiste, vous ouvrez des tiroirs déjà ouverts. Vous parlez d'un sujet qui n'a rien à voir avec la présente proposition de loi et, de surcroît, vous m'interpellez personnellement, comme d'autres l'ont fait auparavant, en donnant de la France une de ces visions misérabilistes dont vous avez le secret !