Si ! Monsieur le ministre délégué, vous avez parlé des « cent jours » au cours desquels il serait possible de discuter ; mais en réalité, vos cent jours, ce sont les Cent-Jours de Napoléon ! Vous sentez que ce qui se profile pour vous, c'est Waterloo, et vous voulez reculer, comme à Waterloo. Vous me faites penser à cette garde qui « meurt mais ne se rend pas ».
Vous voulez prolonger les débats jusqu'à minuit pour que nous n'arrivions pas au vote : nous estimons que c'est indécent et que ce n'est pas démocratique. Vous montrez votre vrai visage !