Si mes propos ne vous convainquent pas, je citerai ceux d'un professeur de droit public, Philippe Coleman, dans un article paru dans Le Monde il y a quelques semaines : « On pourra donc regretter que l'Assemblée nationale, par une alliance de circonstance, privilégie les effets d'annonce aux réflexions de fond sur l'avenir du groupe EDF, son rôle dans la transition énergétique et sa place au sein du marché européen de l'électricité. » C'est bien ce dont il s'agit : vous faites de l'affichage. Vous souhaitez une nationalisation alors que nous avons déjà pris le contrôle à 100 % d'EDF.