J'ai été interpellé par un parlementaire, permettez-moi de lui répondre ; j'espère que vous m'en saurez gré, monsieur Hetzel.
J'ai répondu dans mon intervention générale à votre question : le projet Hercule est mort et enterré. Toutefois, la proposition de loi, telle qu'elle est formulée, va beaucoup plus loin. Comme l'a très bien exposé le député Lefèvre à l'instant, nous souhaitons supprimer l'article 2 parce qu'il coupe les ailes de l'opérateur national qui, s'il veut se développer ou céder des actifs, devra, chaque fois, venir devant vous défendre son projet.