Eh si ! Plus exactement, il faudrait à chaque cession d'actif demander l'autorisation du Parlement. Autrement dit, les ventes d'activités intervenues depuis un an et demi, qui ont permis à l'opérateur de restaurer sa solidité financière et de quitter des activités annexes – comme la vente de Dalkia Wastenergy à Paprec, acteur français de grande qualité –, seraient désormais impossibles, à moins de voter une nouvelle proposition de loi, nécessitant les délais habituels. Ne vous en déplaise, lorsque nous nationalisons un opérateur – et nous l'avons fait –, nous ne souhaitons pas gérer l'entreprise à sa place.