Un Palestinien de Jérusalem-Est peut aussi être expulsé de chez lui et, s'il bénéficie de droits sociaux, il ne possède pas de droits politiques complets.
Un Arabe israélien, quant à lui, est un citoyen de seconde zone. Il peut voter et être élu, mais il subit des discriminations, dont certaines sont inscrites dans la loi.
Tous ces traitements particuliers peuvent-ils être assimilés à une forme d'apartheid ? C'est l'avis de plusieurs organisations des droits humains ,