Elle rappelle qu'en droit international, le boycott est considéré comme une forme légitime d'expression politique et que les manifestations non violentes de soutien au boycott relèvent d'une liberté d'expression légitime qu'il convient de protéger.
Mes chers collègues, je vous invite à sortir d'un silence qui permet l'impunité d'une politique d'occupation menée illégalement depuis plus de cinq décennies et qui s'accompagne de violations des droits humains et des libertés des Palestiniens.