Mieux vaut ce bon vieux nucléaire, paré de toutes les vertus, le combat antiéolien alimentant un fonds de commerce électoral peu regardant sur la décarbonation.
Je pourrais continuer en abordant d'autres axes, mais les dix longues minutes qu'a duré la fable qui a fait office de discours liminaire ne méritent pas de s'épuiser à convaincre des climatosceptiques à peine déguisés.
À ce gouvernement qui entretient le mythe du progrès infini, de la consommation et du productivisme, je demande quand et comment il compte agir aux différents niveaux, national et européen, en particulier s'agissant des énergies renouvelables et de la politique agricole – je demande à voir pour l'industrie verte – afin que l'échelon local puisse enfin se développer harmonieusement et solidairement ?