Depuis qu'elles ont débuté, les manifestations contre la réforme des retraites se sont en majorité bien déroulées, malgré l'appel permanent de l'extrême gauche à la fureur. Après l'utilisation du 49.3 par la Première ministre, cette extrême gauche, qui se veut de moins en moins républicaine, a appelé à bloquer le pays, par la force s'il le fallait.
Un député de cette commission a d'ailleurs légitimé la force et la violence pour faire tomber la réforme en cours, voire le Gouvernement. Sa collaboratrice parlementaire a donné le spectacle du non-respect des lois de la République, insultant et provoquant les forces de l'ordre, dans des vidéos où elle conteste les ordres et les sommations d'un agent de police. À la suite de ses refus et pour mettre fin à cette mise en scène, l'agent a fait un usage justifié de gaz lacrymogène.
Nous pourrions aussi évoquer l'utilisation illégale de drones, ou certains montages photo ou vidéo. Quant à l'emploi des mots « gazés », « rafle », « répression », c'est une insulte à notre histoire et aux victimes de la barbarie partout dans le monde, notamment dans les pays que l'extrême gauche ose élever au rang d'exemples.
Cette stratégie de désinformation et de travestissement de la réalité qu'applique l'extrême gauche, et qui est souvent utilisée par l'extrême droite, vise à expliquer que vous seriez impuissant à rétablir l'ordre dans le pays, ce que nous contestons bien entendu.
Comment pouvons-nous contre-attaquer et utiliser la loi pour protéger les forces de l'ordre ? Quelle stratégie de communication définir pour permettre aux forces de l'ordre de répondre aux attaques dont elles sont l'objet sur les réseaux sociaux, au moyen de montages vidéo et photo émanant parfois de représentants de la nation ?