Si c'est pour en arriver là, pourquoi ne pas avoir eu le courage de nous soumettre aujourd'hui un projet de loi sur le grand âge, monsieur le ministre ? Puisque les rapporteures m'ont enjoint de vous interpeller en séance, vous engagez-vous, si la proposition de loi n'était pas débattue dans les prochaines heures, à soumettre à l'Assemblée le projet de loi sur le grand âge que nos concitoyens attendent ardemment et qu'Emmanuel Macron leur a maintes fois promis ? Croyez-moi : si vous nous soumettez un tel projet, nous serons tous au rendez-vous.