Enchaîner autant de contrevérités en si peu de temps est une insulte – je comprends que cela fasse réagir vos collègues, mais leur réaction me fait craindre qu'eux-mêmes refusent la vérité des chiffres. Citons l'Office national des forêts (ONF) – vous croyez cette organisation. Dans son bulletin du 31 mars, elle indique que 1 635 hectares ont été brûlés depuis le 1er janvier et non pas 20 000 hectares. Que l'écart aille de 1 à 10 par rapport à vos chiffres n'est pas sans poser un problème.