Vous m'interrogez sur quelques points précis, à commencer par l'intérim. En ce domaine, les nouvelles règles ont fait l'objet de larges concertations ; elles sont essentielles au bon fonctionnement de notre hôpital. Un très important travail d'anticipation a été réalisé par les ministres, en lien avec les agences régionales de santé (ARS). Nous suivons attentivement la situation, notamment dans certaines maternités. Des organisations territoriales sont mises en place et des solutions sont recherchées, en lien permanent avec les élus locaux. Notre objectif est clair : limiter au maximum l'impact sur les services qui faisaient beaucoup appel à l'intérim, mais aussi appliquer le principe de plafonnement pour assainir des pratiques déloyales et décourageantes pour les praticiens hospitaliers.