Votre entêtement et l'accumulation de contre-vérités, notamment sur la retraite à 1 200 euros et le nombre de bénéficiaires, sont délétères et dangereux, et enfoncent chaque jour un peu plus le pays dans la crise dont vous êtes la cause. En lieu et place du mépris perpétuel affiché par le Président de la République, nous avons collectivement besoin d'apaisement. Madame la Première ministre, vous l'avez vous-même reconnu récemment en appelant à respecter une période de convalescence… Force est de constater que vous avez vu juste : cette réforme s'apparente à une pathologie. Mais nous ne sommes pas encore en convalescence car la bonne prescription, c'est le retrait !