Je défends l'amendement AS249.
La nécessité d'une flexibilité de la formation, qu'elle soit initiale, continue ou surtout par apprentissage, est l'un des grands enseignements du covid. Si la pandémie a détourné certains soignants de leur tâche, elle a aussi attiré d'autres personnes en quête de sens vers les métiers du soin à domicile. Cette grande flexibilité ne doit pas faire l'impasse sur l'indispensable attractivité de ces métiers.
Grâce aux progrès de la médecine, nous allons vieillir mieux et vivre plus longtemps, si possible à notre domicile. Ce n'est pas en privant les aides à domicile de la revalorisation du Ségur que nous allons favoriser l'attractivité de ces métiers.