Il y a une vraie question autour du partage de la nature et des passions de chacun. Je ne suis pas étonné de la teneur des débats : de nos jours, on a de plus en plus de mal à se respecter. Le dogmatisme et le radicalisme ont pris le pas sur l'écoute, le compromis et les concessions.
La verticalité de la mesure me gêne. Je regrette qu'elle ne renvoie pas à des propositions émises dans les territoires : ce sont eux qu'il faut laisser décider. Laissez-nous vivre et gérer nos relations : place à la République des territoires !