Deux approches sont donc possibles. Soit on lutte contre l'anonymat – ce qui peut ne pas être suffisant –, soit on l'autorise et on réprime les contenus et les méthodes dénoncés dans votre enquête. Mais, dans cette seconde hypothèse, la protection de la démocratie n'exige-t-elle pas une mobilisation accrue des ressources humaines dédiées au contrôle des contenus ? Et que faire face à la difficulté de définir un faux contenu ?