Je poserai la question de la rapporteure d'une autre manière. On sait que la Russie et ses sbires disposent de moyens d'influence en Afrique. Mais peut-on imaginer qu'ils mènent, à titre complémentaire, des actions différentes grâce à des relais installés dans une démocratie ? Ces initiatives seraient beaucoup moins facilement identifiables que celles du groupe Wagner.