Certaines maisons sont littéralement coupées en deux. D'autres subissent comme un scalp, le toit se séparant du reste des murs, quand ce n'est pas la dalle qui se détache. Dans de nombreux cas, enfin, les portes ne s'ouvrent plus et les fenêtres ne tiennent que grâce à des étais.
Quand les bruits résonnent, la nuit, le stress grimpe. Où apparaîtra la prochaine fissure ? On craint que la maison ne se détériore, inéluctablement, qu'elle devienne invendable également. Les habitants se sentent prisonniers d'un logement qui s'effondre sans qu'il n'y ait d'issue, de sortie de secours.
Les habitants de ces maisons ont travaillé dur pour la payer.